Psycho praticienne en Thérapie comportementale et systémique et en  HYPNOSE thérapeutique 

• Maitre Praticien HYPNOSE ESSONNIENNE *, Académie Arche

• Maitre Praticien PNL Master PRACTITIONER $ NLP, Formation Evolution et Synergie, Avignon
• Praticien IMO-EMDR, certifiée par Danie Beaulieu canadienne (Traitement Stress Post-traumatique)
• Praticien Concept de Communication & Pratiques Managériales (INPI)

• Praticienne GESTION DE LA DOULEUR EN HYPNOSE, Hypnose analgésie & Contrôle de la Douleur, formation dispensée à la faculté Lariboisière - Saint Louis
• Praticienne HYPNOSE CLASSIQUE, IFHE
• Praticienne HYPNO-COACHING, IFHE
• Formée à l’HYPNOSE HUMANISTE, IFHE
• Formée à la COHERENCE CARDIAQUE THERPEUTIQUE - P.I Conseil
• Formation du Management de la Qualité intérieure  - PI Conseil
• Formée à la Psychopathologie, école E.F.P.P.

Sophrologue-Relaxologue - Sophro-analyse* - Relaxation psychosomatique  spécificités maternité, addictions, sommeil, douleurs, etc. Formée au Training autogène de Schultz, la relaxation progressive de Jacobson, la méthode Vittoz, la méthode Simonton...

Sophro-analyse*les pratiques de la thérapie analytique se différencient de la psychanalyse sur les points suivants :

• la neutralité absolue classique est laissée
• le transfert existant est utilisé sans être interprété à chaque fois
• on voit assez souvent une identification faite au thérapeute (image parentale indulgente, bienveillante, sécurisante...)

L'exercice porte sur le conflit psychique du sujet et ne doit être entrepris que par un praticien qui a préalablement suivi une analyse. C'est l'une des règles fondamentales posées par Freud. Cette analyse permet au praticien d'être plus en paix avec son propre conflit psychique et donc, plus à l'écoute de l'autre et de sa souffrance.

 Le sophrologue est un praticien formé à des techniques de relaxation physique et des techniques d'aide psychologique et mentale.  Il intervient souvent pour aider les personnes qui souffrent d'un état de stress afin de leur redonner confiance et énergie.

Une meilleure maîtrise des émotions

La respiration ainsi que l'apprentissage de la cohérence cardiaque

La connaissance de son QE (quotient émotionnel)

la renforcement de la confiance et de l'estime de soi

Apprendre à vivre, l'instant présent, pleinement ici et maintenant

LA SOPHROLOGIE EST AVANT TOUT CLINIQUE ET ENSUITE PEDAGOGIQUE ET SOCIALE

Cela nécessite pour le sophrologue d'avoir fait un long travail sur lui même et de suivre OBLIGATOIREMENT une analyse didactique. Cela est primordial. Il ne suffit pas d'avoir étudié la sophrologie pour devenir sophrologue.

JE PRATIQUE L'HYPNOSE ERICKSONIENNE (master) et vous propose de lire ce qui suit.....

Une découverte des thérapies complémentaires. Des airs de proche parenté entre l’hypnose ericksonienne* et la sophrologie : 
« La transe » hypnotique ou l’état sophronique sont des états modifiés de conscience. Qui peuvent les rapprocher ou les différencier dans leurs principes généraux et leurs modalités d’activation thérapeutique. L’élargissement du champ de conscience et renforcement des structures phoniques positives, principe d’action positive cher à A. Caycedo en sophrologie et mobilisation d’un inconscient bienveillant pour Milton Erickson qui a profondément bouleversé les conceptions et les pratiques de l’hypnose traditionnelle. Il part du postulat, conforté par les succès thérapeutiques, que l’on peut fondamentalement faire confiance en l’inconscient du sujet (tout ce qui n’est pas conscient) qui fonctionnerait comme un réservoir de ressources actif permettant de trouver des solutions aux problèmes que le conscient ne parvient pas à résoudre. Pour F. Roustang, l’hypnose consiste à ce qu’il appelle l’éveil d’une conscience inconsciente : la conscience est dite inconsciente dans la mesure où elle supporte la totalité des souvenirs des perceptions des sens externes et internes, des résultats et des possibilités d’apprentissage. Qui pourrait tout aussi être appelée vigilance généralisée (lire qu’est-ce que l’hypnose de Roustang F.)
En commun, principe d’action positive, relation thérapeutique d’alliance, recherche de déconnexion vis-à-vis du monde extérieur, mis en veilleuse de certaines fonctions sont autant de point de convergence entre hypnose et sophrologie. Mais les procédés d’induction sont différents. L’éricksonien met à profit que des éléments contraires peuvent entrainer cette mise entre parenthèse des fonctions de contrôle du moi. Et cultive le paradoxe et il ne fait pas appel à la détente que le fait le sophrologue qui exercera la personne à la respiration abdominale pour le faire évoluer vers un état « à mi-chemin entre la veille et le sommeil ». Ce qui n’est pas le cas en hypnose. Sauf les praticiens formés aux deux disciplines. Occasionnel, Selon l’objectif.
En hypnose on pourrait dire : « Peut être qu’une détente ou qu’une autre sensation intéressante peut surgir à tout endroit de votre corps tandis que votre souffle continue à chercher son rythme harmonieux ». Le praticien en hypnose préfère des inductions spontanées, créatives non ritualisées et favorise la dissociation et non l’abaissement du niveau de vigilance. L’hypnose permet l’accès aux informations d’un inconscient où siègent les ressources susceptibles de délier les symptômes et de résoudre certaines difficultés. 
Le sophrologue a accès à une conscience élargie, enrichie de toutes les perceptions, sensations, intuitions existentielles, caractéristiques du « seuil sophrolominal. Le Terpnos logos visant à abaisser le niveau de vigilance. . Harmonie de soi dans un vécu corps-conscience en détente.
En hypnose, effets d’attente, communication à deux niveaux, recherches de phénomènes involontaires….Mode de fonctionnement inconscient recherché, vécu dissocié. Le sujet semble « présent » à deux niveaux simultanément, tandis que la main peut s’élever ou les mains se rapprocher…Tout se passe comme si, demeurant au plan de la réalité objective, le sujet accédait à une réalité plus vaste. Métaphores, résonances des mots, Erickson a compris que si l’inconscient communique par les rêves, les images, du langage analogique, c’est ce même type de langage que l’on doit aussi utiliser en hypnose.
Dans l’hypnose ericksonienne, on ne force jamais les résistances du sujet. Il lui sera tout simplement demandé de rester très attentif, d’observer avec beaucoup de vigilance tout ce qui se passe…Et si à un moment, il sentait que ses yeux lui réclament un peu de repos, il décidera lui-même ce qui conviendra le mieux pour lui. Et les inévitables clignements des yeux ultérieurs feront l’objet de ratifications de la part du thérapeute. S’instaure ainsi une communication à plusieurs niveaux. Le symptôme est travaillé par analogie, par résonances, sans que la plupart du temps ou l’y touche ou même l’évoquer directement. 
HYPNOSE et SOPHROLOGIE ne sauraient être réduites l’une à l’autre. Les modes d’induction et les « leviers » thérapeutiques sont différents et excellents de part et d’autre.
C’est mon constat depuis de nombreuses années car j’utilise ces 2 outils précieux de thérapie complémentaire. 
Les séances de sophrologie, au-delà même des effets de détente profitables à notre organisme, nous mettent en intimité avec nos « forces latentes », une certaine énergie vitale (en relaxation dynamique notamment) qui stimule nos capacités de bien-être et nos mécanismes adaptatifs, favorisant en outre des avancées thérapeutiques plus ou moins conscientes ou souterraines. Etre en harmonie signifierait être mieux « accordée » à soi-même, (re) connaitre et mieux assumer ses désirs profonds, ses conflits, ses contradictions qu’il n’est pas forcément possible de résoudre, mais au moins faire l’expérience qu’il est clairement jouable de « vivre avec », sans ces tensions paralysantes. La sophrologie nous invite au plaisir de décrocher et à goûter aux charmes du silence.
L’hypnose permet d’établir une relation un peu plus détendue, plus confiante et plus vivante avec son propre inconscient – un inconscient surprenant capable de faire des lévitations (des bras), dans une relation d’alliance, de coopération, excluant toute directivité de la part du thérapeute. Et d’apprécier un moment avec soi en immersion totale.
Le principe de l’hypnose thérapeutique se fonde sur le plan expérientiel : il s’agit d’inviter de permettre au patient « non pas de comprendre plus » mais de faire des expériences nouvelles, souvent surprenantes, sur la base de ce qu’il sait déjà faire, expérience qui lui permettent d’aborder autrement – sur un plan qui n’est pas forcément conscient – les problèmes qu’il essayait de résoudre jusque-là par des symptômes.
« Un changement thérapeutique se met en route quand se crée au niveau de l’inconscient, un nouvel amalgame entre des forces intérieures jusque-là en opposition, bloqués dans un symptôme, et que ces forces trouvent une nouvelle direction dans laquelle agir ». 
Résumé d’un article.

FORMATRICE PSYNOSE FORMATION CENTRE DE FORMATION PROFESSIONNEL ET CONTINUE

Les formations se font exclusivement à PSYNOSE FORMATION BASTIA & les ateliers à Bastia, Folelli, Ile sur La Sorgue.